portal informasi 2022

Critique Vii. Koğuştaki Mucize : Aussi Imprononçable Qu’Inoubliable !

Critique Vii. Koğuştaki Mucize : Aussi Imprononçable Qu’Inoubliable !
Critique Vii. Koğuştaki Mucize : Aussi Imprononçable Qu’Inoubliable !

7. Koğuştaki Mucize est LE celluloid turc dont tout le monde parle en ce minute, et à juste titre, à découvrir absolument sur Netflix !





7. Koğuştaki Mucize est sans doute notre summation belle découverte de ce début d’année sur Netflix. Et fifty’un des addition beaux films que mind ayons vu tout court d’ailleurs. Sorti dans les cinémas turcs en octobre 2019, ce remake du film sud-coréen ‘Miracle inwards Cell No vii’ s’est d’ailleurs imposé dans le meridian ten de la plateforme en quelques jours à peine. Et par le seul effet du bouche à oreilles !





Dans un hamlet de Turquie, en 1983, un père, handicapé mental, doit prouver son innocence alors qu’il est accusé du meurtre d’une fillette et condamné à la pendaison. Préparez-vous à une avalanche de superlatifs auto c’est un coup de cœur absolu que head avons eu pour ce film hautement bouleversant.





Critique 7. Koğuştaki Mucize2
© Kinostar Filmverleih GmbH




À ajouter à la liste des classiques





À mi-chemin entre La vie est belle et La ligne verte, seven. Koğuştaki Mucize (CTRL C / CTRL V) fait désormais partie de ces films qu’il faut avoir vus. Du premier on retrouve toute la naïveté, la tendresse, mais aussi l’amour pur entre un père et son enfant qui sont tout fifty’un pour 50’autre. Du minute on ressent toute la tension, 50’injustice, mais aussi la fragilité psychique du personnage main.





Des deux on retrouve 50’intensité émotionnelle et toute la beauté qui se tisse derrière le drame. Sans parler du jeu exceptionnel d’Aras Bulut İynemli – dans le rôle chief -, de la photographie sublime, et de la bande-son qui fait la office belle aux violons et accompagne merveilleusement bien 50’intensité dramatique de 50’histoire. Un chef d’œuvre on vous dit.





Préparez les mouchoirs





Âmes sensibles, soyez prévenues ! Colère, émerveillement, joie, empathie, peine… On passe par à peu près toutes les émotions dans ce long-métrage de Mehmet Ada Öztekin. Et on sec’attache tour à tour à chacun des personnages, dont la justesse de fifty’interprétation est remarquable.





Mais c’est surtout entre tendresse – notamment dans les moments de partage entre le père et sa miss – et larmes que 50’on navigue. Et quand on vous dit larmes, ce n’est pas la petite larmichette au money de fifty’œil que personne n’aura le temps de voir. Non, c’est aux gros sanglots que les addition sensibles auront droit lors de certaines scènes tout particulièrement bouleversantes et magnifiquement mises en scène ! Dramatiquement fellow.





Critique 7. Koğuştaki Mucize3
© Kinostar Filmverleih GmbH




Un sans faute





Certains diront que le confinement nous rend addition émotifs, mais ce serait nier les qualités indéniables de ce celluloid. L’intensité émotionnelle va crescendo, et c’est surtout la seconde moitié qui head laisse assez peu de répit sur ce signal. Elle se concentre notamment sur l’évolution des relations entre les prisonniers de cette fameuse cellule 7 évoquée par le titre, d’autant addition touchante qu’elle se fait de manière assez implicite.





À travers des échanges de regards, des gestes, des silences. Et les leçons d’humanité arrivent ainsi de là où on ne les attendaient pas. L’intrigue se déroule sans fausse bank bill, sans longueur, et parvient à head surprendre de bien des manières, d’un bout à 50’autre, sans que jamais les ficelles ne soient visibles. Et c’est secoué que brain ressortons de ces 2h12 à la hauteur de leurs promesses. Bref, une pépite.





Critique 7. Koğuştaki Mucize







Advertisement

Iklan Sidebar